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M. Naji, exilé soudanais arrêté à Metz, qui avait refusé d’embarquer lors d’une première tentative d’expulsion vers le Soudan à l’aéroport Charles de Gaulle, et avait ensuite été enfermé au centre de rétention du Mesnil Amelot, a un nouveau vol programmé demain mercredi à 21h20 pour Doha, où il doit prendre un autre vol pour Khartoum, par la compagnie Qatar Airways.
Ce que vous pouvez faire :
Interpeller le ministre de l’intérieur pour demander de stopper l’expulsion :
sec.immigration@interieur.gouv.fr
Écrire un message ou téléphoner à la préfecture de Moselle, auteure de la décision d’expulsion, pour lui demander de l’annuler :
formulaire de contact : http://moselle.gouv.fr/Contactez-nous
Secrétaire général: Olivier DU CRAY
Directrice de cabinet: Nathalie BASNIER
La compagnie Qatar Airways, auprès de laquelle sont réservés les vols pour les expulsion. Vous pouvez téléphoner à son agence de Paris ou vous y rendre pour expliquer courtoisement votre point de vue sur leur participation à ces expulsions.
http://www.qatarairways.com/fr/fr/contact-us.page
Qatar Airways, Agence de Paris, 19 rue de Ponthieu, 75008 Paris, France, 01 43 12 84 40
Vous pouvez aussi l’interpeller sur facebook : https://www.facebook.com/qatarairways
Pour argumenter, vous pouvez vous baser sur les constatations d’Amnesty International :
https://www.amnesty.org/fr/countries/africa/sudan/report-sudan/
Passeuses d'hospitalités 
les 2 adresses en Moselle ne passent pas
Voila ce que j’ai écrit au ministre de l’intérieur :Monsieur le Ministre de l’Intérieur,
Monsieur le Secrétaire Général de la préfecture de la Moselle,
Madame la directrice de Cabinet,
j’ai été alerté de la situation de M. Naji, exilé soudanais arrêté à Metz. Il avait refusé d’embarquer lors d’une première tentative d’expulsion vers le Soudan à l’aéroport Charles de Gaulle, et a ensuite été placé au centre de rétention du Mesnil Amelot. J’apprends qu’il a un nouveau vol programmé demain mercredi à 21h20 pour Doha, où il doit prendre un autre vol pour Khartoum, par la compagnie Qatar Airways.
Actuellement bénévole dans l’accompagnement de migrants soudanais dans un CAO de l’Hérault, j’ai eu l’occasion de mesurer l’ampleur des souffrances vécues par ces exilés. Ils n’ont pas fui leur pays pour rien. Leur pays est toujours en état de guerre et un retour ne sera envisageable que dans un contexte apaisé.
C’est pourquoi je vous demande cordialement de bien vouloir reconsidérer la décision de renvoyer M. Naji au Soudan, sa sécurité n’y tant pas assurée, comme nous y oblige, outre la simple humanité, la loi française sur la mise en danger d’autrui.
En espérant avoir retenu votre attention, Veuillez recevoir, Madame, Messieurs, mes sincères salutations
les mails pour le cabinet et le secrétariat général me sont revenus ! Edith
Oui, j’ai vu aussi. Je les ai reprises sur une source qui ne doit pas être à jour. Désolé.
A reblogué ceci sur AZAgendas des gueulantes.
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